Fiabilité des BMW : ce qu’il faut vraiment savoir
- BMW : le kiff au volant, mais dans le temps ça donne quoi ?
- Les BMW, est-ce qu’elles ont vraiment des problèmes de fiabilité ?
- TOP 10 modèles BMW les plus fiables !
- À quelle fréquence faut-il entretenir une BMW ?
- Les moteurs BMW les plus fiables : top 3 des blocs à toute épreuve
- Tableau comparatif des moteurs BMW les plus fiables
- Les moteurs BMW à éviter absolument
- Combien de kilomètres peut faire un moteur BMW fiable ?
- Avis de la rédaction Delivauto
- Ce que nos clients disent sur Delivauto
- Comment ça fonctionne avec Delivauto ?
- Contactez-nous
- Pour aller plus loin
- Sources
BMW : le kiff au volant, mais dans le temps ça donne quoi ?
Chez BMW, on le sait : c’est pas juste une voiture, c’est une expérience.
Une conduite nerveuse, précise, et même sur les modèles les plus simples, on sent que ça a été pensé pour le plaisir de rouler.
Depuis des années, la marque allemande joue dans la cour des grands, surtout quand il s’agit de dynamisme.
Mais chez Delivauto, on aime aller plus loin.
Parce qu’avoir un bolide, c’est bien… mais encore faut-il qu’il tienne la route dans le temps.
Alors on a décidé de jeter un œil du côté qu’on connaît bien : la fiabilité.
Est-ce que ces BMW qu’on rêve de conduire sont aussi solides qu’elles en ont l’air ?
C’est ce qu’on a voulu savoir, sans langue de bois, comme toujours.
Les BMW, est-ce qu’elles ont vraiment des problèmes de fiabilité ?
C’est vrai qu’on entend rarement des histoires catastrophes sur la route avec ces voitures.
Pourtant, ceux qui roulent en BMW depuis longtemps savent que l’ingénierie allemande, aussi pointue soit-elle, peut parfois jouer des tours.
Les études sur la durabilité ne sont pas toujours tendre avec BMW.
Par exemple, le magazine Which ? leur donne une note de fiabilité de 177 sur 200, ce qui les place plutôt dans le bas du classement, à la 31e place sur 40.
De son côté, Repairpal n’y va pas avec le dos de la cuillère, en leur attribuant un score de 2,5 sur 5, soit le 30e rang sur 32 marques.
Sur le papier, ça donne l’impression que les BMW fiables, ça court pas les rues.
Mais la vérité, c’est qu’à l’image de toutes les voitures allemandes. Les BMW ont surtout besoin d’un entretien régulier et bien fait pour garder la forme.
Sans ça, même la meilleure des machines finit par montrer des signes de fatigue.
TOP 10 modèles BMW les plus fiables !
10 – BMW X7
Le BMW X7, c’est un sacré morceau dans la catégorie des SUV de luxe 7 places.
On peut dire que BMW n’a pas fait dans la demi-mesure : son look bien agressif ne passe pas inaperçu, et ses performances feraient presque rougir certaines berlines plus classiques.
On pourrait penser qu’avec un prix pareil, la fiabilité serait au rendez-vous, mais ce n’est pas tout à fait ça.
D’après Consumer Reports, le X7 récolte une note de 45 sur 100 en fiabilité, ce qui reste moyen, voire un peu décevant pour un véhicule de ce standing.
La note prévisionnelle de fiabilité, elle, se situe à 3 sur 5.
Le vrai problème qui plombe la réputation du X7, c’est son système électrique.
Pas mal de soucis ont été remontés : de l’accélération qui part en vrille au siège qui refuse de bouger, sans oublier un système d’infodivertissement capricieux.
Et ce n’est pas tout, la transmission automatique connaît aussi ses galères.
Certaines versions ont même un boulon en trop dans le démarreur, qui peut se décrocher et venir foutre le bazar dans la transmission.
Autant te dire que ça peut vite tourner au casse-tête.
9 – BMW Série 7
La BMW Série 7, surtout la génération G11, a un style un peu plus discret que sa petite sœur restylée. Avec sa fameuse calandre XXL qui fait souvent parler d’elle un vrai aimant à feuilles et même à chats !
La G11, elle, joue la carte du design classique, plus sobre, plus élégant, comme une vraie berline de luxe à l’ancienne.
Il y a quelques années, la Série 7 avait la réputation d’être une des rares grosses allemandes vraiment fiables.
Avec un gros coup de boost sur le confort et la technologie. Mais aujourd’hui, la donne a un peu changé : la fiabilité de cette grande berline s’est un peu faite la malle.
Les propriétaires de Série 7 doivent souvent faire face à deux gros tracas : soit un souci avec la suspension pneumatique, soit des pépins côté moteur V8.
En plus, on retrouve fréquemment des problèmes de bobines d’allumage, une consommation d’huile qui grimpe vite, et des chaînes de distribution qui se relâchent.
Par contre, et c’est important de le souligner, malgré ce que certains pensent, c’est le moteur diesel 6 cylindres qui est de loin le plus fiable sur ce modèle.
8 – BMW X5
Le BMW X5, c’est un vrai globe-trotter. Pensé en Allemagne, fabriqué aux États-Unis, ce SUV de luxe a clairement trouvé son public.
Rien qu’en 2021, BMW en a sorti plus de 165 000 exemplaires !
Quand on voit l’intérieur bien foutu du X5 et ce qu’il est capable d’envoyer sur la route, franchement, ces chiffres n’ont rien d’étonnant.
Quand tout roule, le X5 est une machine de rêve : confort, puissance, tenue de route, tout y est. Mais voilà, certains propriétaires grincent un peu des dents.
Ils pointent du doigt une peinture d’origine un peu fragile, des sièges ventilés qui font le job… quand ils veulent, et quelques bugs électriques qui viennent parfois gâcher l’expérience, surtout côté équipements de confort.
La bonne nouvelle ? Ces petits couacs restent assez isolés. Résultat : malgré tout, le X5 s’en sort pas trop mal niveau fiabilité.
D’après l’étude de J.D. Power, il affiche une note de durabilité de 75 sur 100. Pas de quoi fanfaronner, mais clairement pas catastrophique non plus.
7 – BMW Z4
Quand BMW a relancé son mythique Z4, les passionnés de belles mécaniques ont clairement eu le sourire.
Même si ce roadster a perdu un peu de sa popularité au fil des années, il reste un vrai bijou : agile, nerveux, confortable… Bref, le genre de voiture qui donne envie de prendre la route juste pour le plaisir.
Et côté mécanique ? Eh bien, bonne nouvelle : le Z4 fait partie des BMW qu’on peut considérer comme fiables.
Mais comme souvent chez la marque à l’hélice, c’est l’électronique embarquée qui vient semer un peu la pagaille.
Les propriétaires ont souvent mentionné des soucis avec le système d’infodivertissement, des capteurs capricieux et même une télécommande qui vide sa pile à vitesse grand V.
Petit bémol plus sérieux : un rappel constructeur a été lancé à cause d’un souci sur le réservoir d’essence. Il n’aurait pas été monté selon les règles de l’art, et en cas de choc, il peut fuir.
Le joint de soudure peut se fissurer, et là, le risque d’incendie devient bien réel.
6 – BMW X1
Le BMW X1, c’est un peu le ticket d’entrée chez les SUV de la marque.
Il partage sa base avec la Mini Countryman et le BMW Série 2 Active Tourer, ce qui signifie qu’il roule en traction avant.
Un choix malin pour certains… mais une petite trahison pour les puristes qui jurent que par la propulsion made in BMW.
Et niveau fiabilité ? Disons que c’est un peu mitigé. Même si la plateforme est plus simple, les coûts d’entretien restent salés. En moyenne, comptez 915 € par an pour l’entretien du X1, selon RepairPal.
C’est environ 6,3 % de plus que la moyenne des SUV compacts de luxe, et carrément 33 % au-dessus de la norme générale du marché. Pas donné, donc.
Les soucis les plus fréquents ? Des plaquettes de frein qui fondent comme neige au soleil et des bras de suspension qui fatiguent vite.
Mais tout n’est pas noir : les nouveaux moteurs turbo ont corrigé pas mal de galères d’avant, comme la surconsommation d’huile ou les chaînes de distribution capricieuses.
Donc oui, il y a du bon… mais ça reste un BMW, avec ce que ça implique.
5 – BMW série 3
La BMW Série 3, c’est un peu la vitrine de la marque. Une berline compacte, mais au charisme de grande, taillée pour la route avec ce mélange unique de sportivité, confort et équilibre qui fait que même les concurrents s’en inspirent… sans jamais vraiment l’égaler.
Aujourd’hui, la dernière version la génération G20 semble enfin tirer un trait sur les petits tracas de la précédente (F30). D’après l’étude de fiabilité What Car ?, la G20 affiche un taux de fiabilité de 97,3 %, contre 92,6 % pour la F30. Autrement dit, on sent que BMW a bossé pour redonner confiance aux conducteurs.
Mais bon, on ne va pas se mentir : ce n’est pas encore du zéro défaut. Des fuites d’huile au niveau du différentiel arrièreont été signalées, et certains utilisateurs ont aussi rencontré des bugs avec le système iDrive ou les alertes de circulation transversale.
En clair : la Série 3 reste une valeur sûre, surtout en version récente, mais comme souvent avec BMW, il faut garder un œil sur les détails… surtout si tu veux éviter de faire la navette entre chez toi et ton garagiste.
4 – BMW X3
Le BMW X3, c’est un peu le grand frère baroudeur de la Série 3. Ils partagent presque tout : châssis, technos embarquées, motorisations, et même une gamme de prix qui les met dans la même cour. Mais là où la Série 3 joue la carte de l’élégance sportive, le X3 s’adresse clairement à ceux qui veulent un SUV de luxe, pratique, mais avec ce petit grain de dynamisme qu’on aime chez BMW.
Et bonne nouvelle : côté fiabilité, le X3 de dernière génération fait mieux que pas mal de concurrents. L’ADAC, un acteur sérieux dans le domaine, a analysé plus de 3 millions de pannes et le X3 sort avec l’un des meilleurs scores. Autrement dit, c’est un SUV qui ne te lâche pas au premier feu rouge.
Cela dit, tout n’est pas rose non plus. Même s’il tombe rarement en panne, il traîne quelques petits pépins électroniques. Heureusement, souvent un simple update logiciel suffit à les calmer. Par contre, si ton X3 est équipé du moteur B58, fais gaffe aux fuites de liquide de refroidissement. C’est souvent un souci de joint ou de pompe à eaucapricieuse. Un petit coup d’œil régulier au réservoir de liquide peut t’éviter de gros ennuis sous le capot.
3 – BMW i3
La BMW i3, c’est un peu le pari électrique de la marque allemande, et franchement, elle a marqué les esprits. Avec son look futuriste et ses matériaux écolos à bord, elle a réussi à s’imposer comme une vraie référence côté mobilité propre. Mais ce qui nous intéresse chez Delivauto, c’est pas juste l’apparence : c’est la fiabilité. Et là, surprise… elle s’en sort très bien !
D’après l’étude de What Car ?, la i3 affiche un joli 94,1 % de fiabilité, un score qui met à l’amende des modèles comme la Tesla Model 3, la Nissan Leaf ou encore la Jaguar I-Pace. Oui, la petite BMW électrique tient le choc.
Bon, elle n’est pas parfaite non plus. Ceux qui ont opté pour la version avec prolongateur d’autonomie ont parfois connu quelques galères : passage en mode limp (le mode tortue pour ceux qui connaissent…), voire blocage complet du véhicule. Autre souci repéré : des pannes de la carte électronique (celle planquée dans le module EME), qui peuvent faire sauter toute l’alimentation haute tension. Autrement dit, t’as plus de jus et ta i3 ne bouge plus.
En bref : la i3, c’est une belle réussite en matière de voiture électrique fiable, à condition de bien la connaître et de rester attentif aux points faibles.
2 – BMW Série 1
La BMW Série 1, on l’a connue à l’époque avec ses roues arrière motrices et son petit côté nerveux qui faisait plaisir. Mais ça, c’était avant. Aujourd’hui, la marque a opté pour un modèle plus « grand public » : une compacte à traction avant, plus sage, plus facile à prendre en main… et clairement pensée pour le quotidien.
Alors oui, les puristes râlent un peu, mais dans les faits, ça reste une voiture plutôt fiable et agréable à conduire, surtout si tu veux une BMW qui consomme peu et qui ne te ruine pas en entretien. En revanche, si tu veux éviter les mauvaises surprises, un truc à surveiller de près : la boîte auto.
La Série 1 embarque une transmission automatique Aisin à 8 rapports, la même que dans certaines Citroën, Mini ou même Volkswagen. Et là, ça coince. Cette boîte a eu droit à un recours collectif aux États-Unis à cause de gros soucis : joints qui lâchent, fuites d’huile, et parfois même casse complète de la transmission. Le hic ? Ces galères arrivent surtout quand l’huile n’est pas changée assez souvent, voire jamais.
Chez Delivauto, on te le dit direct : si tu veux que ta Série 1 tienne la route, ne néglige jamais l’entretien de la boîte auto. Un petit effort maintenant, c’est des économies demain.
1 – BMW Série 5
La BMW Série 5, c’est un peu la grande sœur de la Série 3… mais avec encore plus de charisme. Elle incarne tout ce qu’on aime chez BMW : du style, de la puissance, du confort, le tout dans une berline qui respire le sérieux. Et pourtant, malgré ses qualités, elle reste un peu dans l’ombre depuis que les SUV ont envahi les routes. Dommage, car ceux qui la connaissent savent qu’elle coche presque toutes les cases.
Côté fiabilité, les premières versions n’étaient pas parfaites : quelques bruits bizarres côté sièges, des soucis avec l’audio embarqué… bref, des petits détails agaçants. Mais depuis le restylage de 2020, tout ça a été corrigé, et là, on parle d’une berline haut de gamme ultra fiable.
La preuve ? Dans l’étude de What Car ?, la Série 5 a décroché un 96,9 % de fiabilité, devant des poids lourds comme la Mercedes Classe E, la Volvo S90 ou l’Audi A6. Pas mal, non ?
Bon, y a quand même un point à surveiller : le système de refroidissement. Les pompes à eau et les thermostatspeuvent jouer les trouble-fêtes. Chez Delivauto, on te conseille de garder un œil régulier sur la température moteur et le niveau de liquide de refroidissement. Un simple coup d’œil peut éviter une grosse galère.
En résumé : la Série 5, c’est la berline des connaisseurs. Et si tu veux en acheter une ou t’en séparer, tu sais qui appeler. Delivauto, on est là pour ça.
À quelle fréquence faut-il entretenir une BMW ?
Entretenir une BMW, ce n’est pas comme s’occuper d’une citadine classique. On parle ici de mécanique de précision, de composants haut de gamme… Bref, du sérieux. Et qui dit haut de gamme, dit aussi budget d’entretien un peu plus costaud. C’est pas une Toyota Corolla, faut le dire clairement.
Mais pas de panique : avec quelques bonnes habitudes, tu peux éviter les factures salées et garder ta BMW en pleine forme pendant des années. Voici les deux réflexes à adopter, si tu veux éviter que ta voiture ne te le fasse regretter :
Vidange : joue-la plus réglo que BMW
BMW te dira de faire la vidange tous les 25 000 ou 30 000 km. C’est joli sur le papier, mais dans la vraie vie, c’est trop espacé. Chez Delivauto, on te conseille de faire ton changement d’huile tous les 12 000 à 13 000 km. Résultat ? Ton moteur respire mieux, il est mieux lubrifié, et tu réduis l’usure prématurée. Une petite dépense maintenant vaut mieux qu’un gros billet plus tard.
Surveille les tuyaux et les joints
Les BMW, surtout les anciens modèles, ont souvent eu des soucis de refroidissement. Ça peut vite tourner à la surchauffe, et là c’est la cata. Même si les modèles récents s’en sortent mieux, prends l’habitude de jeter un œil aux durites en caoutchouc et de vérifier les joints (surtout celui de culasse) à chaque vidange. Une petite fuite d’huile, ça commence doucement… et ça finit au garage sur un plateau.
Les moteurs BMW les plus fiables : top 3 des blocs à toute épreuve
S’il y a une chose que BMW maîtrise à la perfection, c’est bien la mécanique de précision. Et dans ce domaine, rien ne symbolise mieux l’ADN de la marque qu’un bon 6 cylindres en ligne. Chez Delivauto, on t’embarque pour un tour d’horizon des moteurs BMW les plus costauds, ceux qui avalent les kilomètres sans broncher.
1- N52 – Le moteur essence qu’on ne présente plus
S’il fallait ne retenir qu’un moteur essence fiable chez BMW, ce serait le N52. Ce 6 cylindres atmosphérique, produit entre 2004 et 2011, est une vraie pépite d’ingénierie : simple, efficace, increvable.
Pourquoi on l’adore ?
- Conception éprouvée, sans gadgets inutiles
- Zéro panne majeure connue : une rareté
- Peut dépasser les 300 000 km sans ouvrir le bloc
- Des performances constantes, même après des années
Ce moteur a fait le bonheur des Série 3, Série 5 et Z4, et continue de séduire sur le marché de l’occasion. Pas de turbo, pas de stress : juste de la mécanique pure, à l’ancienne, comme on l’aime.
2- N57D30 – Le maître du diesel longue distance
Côté diesel, le champion toutes catégories, c’est le N57D30. Un 3.0L plein de couple, monté sur les modèles haut de gamme comme la Série 5, Série 7 ou le X5.
Ses points forts :
- Gros couple dès les bas régimes → parfait pour l’autoroute
- Consommation maîtrisée, malgré la puissance
- Conception renforcée pour durer longtemps
- Injecteurs et système d’alimentation fiables
Pas étonnant que ce moteur dépasse les 350 000 km chez de nombreux propriétaires. C’est le moteur idéal pour ceux qui roulent beaucoup et veulent de la fiabilité sans compromis.
3- M57 – L’ancien diesel indestructible
Avant le N57, il y avait le M57. Un moteur légendaire, produit de 1998 à 2010, qu’on retrouve sur des BMW devenues cultes : Série 3 E46, Série 5 E39/E60, X5 première génération…
Pourquoi il a encore la cote ?
- Structure ultra robuste
- Chaîne de distribution à vie
- Entretien simple, peu coûteux
- Accepte sans broncher les carburants pas toujours premium
Moins technologique que ses successeurs, il compense largement par une fiabilité à toute épreuve. Pour ceux qui aiment la mécanique sans prise de tête, c’est clairement un must.
En résumé :
N52 pour l’essence
N57D30 pour les gros rouleurs diesel
M57 pour les amoureux de BMW old school
Et si ton moteur commence à donner des signes de faiblesse ou que tu veux changer de modèle, Delivauto est là : on reprend ton véhicule en panne, roulant ou HS, sans contrôle technique si besoin, et partout en France. Simple, rapide, sans prise de tête.
Tableau comparatif des moteurs BMW les plus fiables
Les moteurs BMW à éviter absolument
Si BMW est souvent synonyme de fiabilité et performances, certains moteurs sont malheureusement connus pour leurs problèmes récurrents. Ces blocs peuvent vite devenir un gros poste de dépense, surtout à l’occasion. Voici ceux que Delivauto te conseille de surveiller — voire d’éviter — pour ne pas avoir de mauvaise surprise.
N47 : Le cauchemar de la chaîne de distribution
Ce moteur diesel 4 cylindres, présent sur les BMW 118d, 120d, 318d, 320d entre 2007 et 2010, est tristement célèbre pour ses soucis de chaîne de distribution.
Les galères fréquentes :
- Chaîne qui se détend parfois dès 60 000 km
- Bruit de cliquetis caractéristique, signe d’usure
- Réparation très coûteuse, entre 2000 € et 4000 €
- Risque catastrophique de casse moteur en cas de rupture
Bonne nouvelle : BMW a corrigé ce défaut progressivement sur le moteur B47, successeur du N47, mais attention sur les modèles plus anciens.
N43 : L’essence qui pose problème
Les moteurs essence N43 (116i, 118i, 318i de 2007 à 2011) ont aussi leur lot de soucis, surtout avec le système d’injection directe et l’allumage.
Les soucis récurrents :
- Injecteurs et bobines d’allumage souvent défaillants
- Consommation d’huile excessive
- Ratés moteur, allumage capricieux
- Capteurs qui lâchent, générant des erreurs multiples
BMW a fini par abandonner ce bloc pour le remplacer par des moteurs plus fiables comme le N20 puis le B48.
V8 de Série 7 : Le luxe qui coûte cher
Sur les grosses BMW Série 7 équipées de V8, la facture d’entretien peut vite grimper. Les propriétaires doivent rester vigilants sur :
- Bobines d’allumage à remplacer souvent
- Consommation d’huile élevée
- Chaînes de distribution qui peuvent se détendre
- Joints de culasse fragiles sur certaines versions
Sans oublier un autre poste sensible : le système de suspension pneumatique souvent capricieux et coûteux à réparer.
Combien de kilomètres peut faire un moteur BMW fiable ?
C’est LA question que se posent tous les acheteurs de BMW d’occasion : jusqu’où peut aller un moteur BMW fiable ? La réponse dépend bien sûr de l’entretien, mais bonne nouvelle : les moteurs les plus robustes de la marque peuvent encaisser de très gros kilométrages.
Ce que vous pouvez espérer avec un bon entretien :
- Essence 6 cylindres en ligne (N52) : entre 300 000 et 350 000 km
- Diesel 6 cylindres (M57, N57) : facilement 350 000 à 500 000 km
- Essence 4 cylindres récents (B48) : autour de 250 000 à 300 000 km
- Diesel 4 cylindres modernes (B47) : 300 000 à 350 000 km sans souci majeur
Pourquoi ces chiffres sont importants ?
Parce que certaines BMW avec 200 000 km ne sont pas en fin de vie… au contraire ! Quand le moteur est bien né, bien entretenu, et que les vidanges sont faites dans les temps, ces voitures peuvent encore rouler longtemps. C’est aussi pour ça que certains modèles d’occasion gardent une très bonne cote, même avec un kilométrage déjà conséquent.
Et si jamais ton moteur lâche… pas de panique : chez Delivauto, on reprend ta BMW avec ou sans CT moteur HS, accidenté, en panne ou non roulant, partout en France, sans stress. Estimation en 2 minutes, reprise rapide, sans blabla.
Avis de la rédaction Delivauto
Les BMW, c’est le plaisir de conduite à l’état pur… mais pas toutes sont fiables sur le long terme. Certains modèles (comme ceux équipés du N52 ou M57) sont de vraies machines de guerre, capables d’atteindre 300 000 km et plus sans broncher. D’autres, en revanche (coucou le N47), peuvent vite devenir un cauchemar mécanique.
Moralité : bien choisir son moteur, c’est éviter les galères. Et si vous avez un doute, Delivauto est là pour reprendre votre BMW, même en panne.
Ce nos clients disent sur Delivauto
Un service plus que parfait pour le rachat de ma voiture moteur puretech, je recommande
Excellente communication, accessibilité. Devis rapide et organisation pour retirer mon Jaguar définitivement en panne en 4 jours.
Exactement ce que j’attendais.Personne très compétent.
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